Et pour preuve, il est derrière nous le temps on l’on pensait que les liseuses allaient remplacer le livre. Pourtant très pratique, la liseuse a réussi à se faire une place chez certains consommateurs qui y voit l’avantage de collectionner plusieurs livres sans porter des kilos supplémentaires pour partir en vacances. Mais la liseuse n’a pas eu le coeur de tous les aficionados de lecture qui voient une expérience forte dans le fait de lire un livre en tournant les pages, en y ajoutant leur marque page préféré ou pour ceux qui aiment simplement l’odeur d’un livre.
ET LA PRESSE PAPIER ?
Certaines presses n’ont pas survécu à la crise sanitaire (kiosque à journaux fermés) ce qui les a contraint à fermer boutique de la rédaction print pour prendre le virage exclusif du digital.
On pensait que Grazia était derrière nous.. Coucou les fashionistas qui demandaient encore à la caisse chaque semaine “Je voudrais un Grazia svp”.
Quelle a été la surprise de revoir ce dernier dans nos très chères librairies, cette fois-ci en mensuel.
Idem, les cartes postales font leur grand retour sur fond de kitsch love.
Petite précision, chez milkshake on n’y avait jamais renoncé et notre frigo parle pour nous avec les aimants qui soutiennent nos cartes de séjours au ski et autres ballades au soleil.
Mais là où les marques entrent en jeu c’est par cet usage de l’écriture qui se réintroduit de plus en plus dans notre quotidien.
Bien plus que le papier (à utiliser recyclé, car les arbres sont nos poumons) c’est surtout l’écriture manuscrite qui manquait.
N’en déplaise à certains, l’écriture est un pouvoir entre nos mains. Celui d’écrire sur l’instant, de brainstormer pour les créatifs, de noter un mémo, de figer un souvenir (tout comme une photo imprimée).
La preuve, les DNVBs (même si on continue de les appeler comme ça alors qu’aujourd’hui elles ont presque toutes des boutiques physiques) proposent très très très souvent d’imprimer une carte pour l’envoi d’un cadeau.
Enfin, le côté marqueur dans le temps, authencité, label, cachet, souvenirs sont autant d’arguments pour faire vendre l’écriture encore de nombreuses années.